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              | Coralie 
                en stage de planche à voile dans le Finistère 
              nord |  
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              | Coralie, 
                son cousin Arnaud et les deux arrières
 grand-mères
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                  | DANS LE DROIT FIL DE   l'ÂMEDédié à ma fille Coralie
 et à toutes les personnes éprouvées par la mort d'un enfant
 Silviane 
                    Le Menn
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                  |  | "Un 
                    livre très émouvant"Coup de cœur de Patrick Poivre d’Arvor
 dans 
                        son émission littéraire
 « Place aux Livres » sur LCI
 en 
                          août 1999
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                  | Diplôme 
                    d’honneur 2000 décerné par 
                      la SPAF (Société des Poètes et Artistes de France) 
                      Région "Bretagne, Anjou, Touraine".
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                  | 200 poèmes - 240 
                    pages - Broché - ISBN  0-95113572-0-6... 20 illustrations 
                    originales dont 13 en couleurs
 
 | 15 €  |  
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                  | Je dédie ce livre à 
                        Coralie, ma fille bien-aimée, mon enfant unique 
                    (1973 - 1993)et 
                    à toutes les personnes éprouvées par la MORT d’un 
                    ENFANT.
 
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                  | Coralie 
                    et mamandans la campagne
 à DINÉAULT
 | Coralie à PARISau bois de Boulogne
 | Coralie et sa maman à NANTES  |  |  
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                  | PRÉFACE de feu Yann 
                    Brekilien |  
                  |  |  
                  | On 
                      est emporté par la   magie de cette musique verbale. Sa pensée est toute entière poésie. Le même souffle poétique 
                        imprègne tous les mouvements de son âme si riche, toutes
 les conceptions de son esprit si fécond.
 
 Notre époque de déclin de la civilisation occidentale 
                          a plus que jamais besoin de poètes. Car il y a des vérités 
                          que seuls les poètes peuvent dire.
 
 La pensée de Silviane, notre poétesse, est d’une éblouissante 
                            richesse que ses lecteurs
 ont intérêts à méditer. Du premier vers au dernier, DANS LE DROIT FIL DE   l'ÂME
 nous 
      empoigne, nous bouleverse, nous interpelle. Cette grandeur de sentiments, cette noblesse naturelle 
        se répercutent sur la seconde partie du recueil où l’on 
        voit se développer peu à peu
 la sagesse et la sérénité 
        d’une âme d’élite.
 
 DANS LE DROIT FIL DE   l'ÂME est une oeuvre de haute qualité, 
    une  oeuvre absolument merveilleuse qui fait de son 
    auteur une grande poétesse dont la personnalité éblouissante
 et généreuse honore 
      sa chère Bretagne.
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                  | Poète-visionnaire, bretonne et résolument spiritualiste en cette ère du verseau, Silviane Le Menn nous fait 
                    partager les émotions de sa recherche. Ses textes en 
                    vers libres accumulés depuis l´âge de 14 ans (2ème cycle 
                    karmique) ont été laurés maintes 
                      fois, attestant de la valeur de son inspiration                    et de son don pour l’écriture.
 
 DANS LE DROIT FIL DE   l'ÂME nous conduit dans le labyrinthe de l’esprit et grâce
 à une lecture méditative espérons que s’allume chez 
                        le lecteur la lumière intérieure grâce
 à laquelle peuvent 
                        s’installer au coeur de l’être, l’amour, la paix, l’ordre 
                        et l’harmonie, maîtres-mots de notre pythonisse, idéaliste                      et humaniste par vocation.
 
 À 
                      50 ans (7ème cycle karmique), celle dont la vie n’est 
                      qu’une succession d’épreuves initiatiques, d’épreuves 
                      sublimées grâce à la connaissance, poursuit une destinée 
                      peu banale.
 
 Son don de voyance lui permet d'aller aisément au-delà du visible et se met tout naturellement 
                      au service de son écriture qui devient ainsi 
                      un vecteur de médiumnité.  DANS LE DROIT FIL
 DE   l'ÂME contient 
                      donc un certain nombre de textes prémonitoires 
                      dont quelques-uns,
 par exemple, 
                        annonçaient la naissance, la maladie et le décès 
                        à 20 ans de sa fille Coralie,
 alors qu'elle n'était 
                        pas encore conçue !
 
 Silviane, grâce à sa personnalité 
                        multi-facettes, nous sort des sentiers battus de la 
                        poésie
 et nous fait découvrir une philosophie 
                          de vie, une richesse spirituelle ainsi qu'un amour
 de 
                    la nature et surtout des êtres...
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                  | Toute 
                    ma vie j’avais porté le poids d’une lourdeur venant 
                    du ventre de le terre, sans savoir. Il n’est rien de 
                    pire que de pressentir les choses sans savoir. C’est 
                    ce qui me conduisit inconsciemment à toujours chercher 
                    à comprendre, à savoir. C’est ce qui provoqua dans
 mon 
                    esprit une ouverture particulière grâce à laquelle je 
                    pus devenir capable de voir les choses
 de l’avenir, 
                    mais je n’en pris conscience que bien plus tard.
 
 Cette disposition particulière fut bien difficile à 
                      porter durant tout ce temps où je ne comprenais
 pas 
                      ces visions et ces prémonitions qui s’imposaient à moi. 
                      C’est ainsi que vers l’âge de 14 ans
 je commençais à 
                      me libérer au moyen de l’écriture. J’ignorais alors 
                      qu’il s’agissait la plupart
 du temps de descriptions 
                      littérales de scénarios et d’images correspondant au rêve éveillé.
 Tout le malaise de mon âme exprimé ainsi 
                      ne devait prendre un véritable sens que 20 ou 30 ans 
                      plus tard.
 
 Comment était-ce possible d’écrire sous forme symbolique, métaphorique 
                      et plus ou moins hermétique un destin prémonitoirement 
                      perçu comme tragique ?
 Comment expliquer la provenance 
                      de ces mots emprunts de morbidité et de désespérance 
                      ? Comment expliquer la note  d’espoir intense et 
                      de foi qui s’y incluait systématiquement ? Comment vivre 
                      avec une telle prescience lorsque le subconscient travaille 
                      à communiquer concrètement avec le conscient au moyen 
                      de l’écriture ?
 
 Ces sortes de rébus, ces descriptions 
                      couchées sur le papier dans une sorte d’état second, 
                      moments privilégiés de profonde inspiration, auraient 
                      nécessité un décodeur que je ne possédais pas. Il me 
                      fallait aussi l’aide du dictionnaire pour comprendre 
                      le sens exact de mots ne faisant pas
 du tout partie 
                      de mon vocabulaire courant, qui composaient ces étranges 
                      textes dont le contenu dépassait mon imagination et 
                      qui s’écrivaient souvent avec une aisance et une rapidité 
                      déconcertante.
 
 Aujourd’hui, je pourrais dire 
                        que l’aspect prémonitoire et l’inspiration elle-même 
                        faisait partie intégrante de ce que l’on peut nommer 
                        « le sixième sens » ou encore « le troisième 
                        œil ».
 Comment peut-on s’épanouir dans la vie lorsque l’on 
                         est parasité par un malaise sournois suscité  par 
                         la mort qui marche à côté de soi, la mort de l’enfant qui n’est pas né et loin de l’être !
 La parole silencieuse 
                        de la mort créait en moi un porte-à-faux, un déséquilibre 
                         par rapport à la vie  de 
                           tous les jours. Nul ne pouvait comprendre mes comportements, 
                           mes paroles, mes écrits,
 mes accès de tristesse et de 
                           colère, pas même moi. Je faisais de mon mieux pour vivre 
                           le présent dans sa banale réalité, mais une partie de 
                           mon être se trouvait projeté à des longueurs d’avance 
                           dans un inextricable fatras de peurs et de douleurs inexpliquées et inexplicables. C’est ainsi
 que j’avais 
                           le sentiment de vivre les évènements à la fois en avance 
                           et au moment, c’est-à-dire multipliés.
 
 Les sensations étaient à l’intérieur de moi, vivaient 
                      en moi comme une gestation. Et j’accouchais de mots 
                      et de mots pour m’alléger et vivre sans ce poids, mais 
                      le poids me regagnait toujours. Alors vint le moment 
                      où je refusais plus ou moins l’écriture. À ce moment, 
                      j’entrais dans la grande machinerie du cerveau pour 
                      apprendre ses rouages et acquérir la connaissance qui 
                      allait me permettre de développer la maîtrise du fonctionnement 
                      de la perception psychique et de la vision, découvrir 
                      peu à peu le mystère de l’être dans sa relation avec 
                      les choses de l’invisible, les choses de l’au-delà.
 
 J’abordais alors la réalité des abstractions, univers 
                      aussi profond que la plus profonde des mers et plus 
                      immense encore. La mort m’obligea   à sonder 
                      plus encore le pourquoi du comment
 et je vécus dans 
                      l’attente d’un air plus léger. La  mer 
                        me porta, la tristesse devint reine, mais
 la lourdeur 
                        essaya de s’envoler avec les larmes lorsqu’enfin je 
                        sus pourquoi mon cœur pleurait depuis si longtemps.La 
                        lourdeur qui venait du ventre de la  terre cessa 
                        de me noyer dans
 une brume opaque le jour où j’acceptais la mort comme une simple transition voyant 
                        la beauté dans la puissance de l’immortalité.
 
 Alors la vie reprit et je voulus dire ceci : chaque 
                      être porte en lui la mort ; la mort
 est contenue dans 
                      la vie et la vie est contenue dans la mort. Un enfant 
                      qui meurt est
 “vieux” avant l’âge et cela se sent, cela 
                      se sait. Mais on laisse les jours s’écouler sans savoir
 que les jours sont comptés. On laisse les jours s’enfuir 
                      sans penser que le jour finit  un jour,
 en une 
                      nuit parfois. On ne goûte pas la vie comme on devrait, 
                      on n’aime pas autant que
 l’on devrait, car ignorant, 
                      on ne sait pas que la vie est si chère.
 
 Ce 
                      que les yeux voient n’est pas la réalité. Ce que les 
                      yeux voient n’est que l’apparence, l’illusion d’un monde 
                      dérisoire où tout peut se détruire en un instant.
 
 Les fleurs s’en étaient allées au large suivant les 
                        courants, forces invisibles des flots.
 Le soleil couchant 
                        avait irradié sa divine magie dispensant généreusement 
                        ses couleurs éternelles. Puis la nuit était revenue 
                        avec son cortège de souvenirs brillants comme 
                    des étoiles.
 C’était à ce moment qu’elle m’avait parlé.
 Revint alors le temps d’écrire...
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                  | MAXIMES |  
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                    Le poème inspiré est 
                      la Parole de l’âme : grave, profonde, ses vibrations 
                      portent loin !
 
 Dans 
                                  la lumière du soleil, sont invisibles les étoiles.
 Ceci n’est pas la preuve de l’inexistence des 
                              étoiles
 
 Sage est celui qui sait oublier qu’il 
                                  a des pieds
 lorsque ses pieds sont meurtris par 
                          les pierres du chemin
 
 Le bonheur c’est quand tout est en ordre en vous 
                          et autour de vous.
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                  |  | La 
                    légende de Mortecampagne (Silviane Le Menn) Abadennoù 
                        Editions - 2002 -
 Un CONTE philosophique, CONTE de fée ORIGINAL MULTILINGUE : français, breton, anglais (US), allemand
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                  | 73 
                    pages couleur (21 x 29,7) - Broché Papier glacé
 Illustré par feu Yann Brekilien
 
 | 10 € |  
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                      |  | © 
                      Silviane Le Menn  |  |  
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                          mise à jour
                          vendredi 06.06.2025  16:52
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