À
peine sorti des presses de l’imprimerie, « La
légende de Mortecampagne »
a été présentée
au public pour la 1ère fois lors du Salon multilingue de la Jeunesse les 16 et 17 novembre 2002, à PLUGUFFAN, en présence
de Yann Brekilien.
L’ouvrage a reçu d’emblée un excellent accueil de la part du public, sans distinction d’âge,
de sexe ou de religion. À noter, l’intérêt particulier
des professeurs de français, de breton, d’anglais
ou d’allemand, ainsi que des professeurs des écoles.
L’esprit créatif de la poétesse Silviane Le
Menn, imprégné d’idéal humaniste, d’ésotérisme
et de celtisme place la Bretagne en toile de fond
à ce conte original au thème universel : le despotisme !
Le Seigneur Ego,
la sorcière Venima, la fée Cristal et l’enchanteur
Eoldin sont
les personnages grâce auxquels
l’auteur conduit l’imaginaire du lecteur du mal
vers le bien,
de la haine vers l’amour, du désordre
vers l’ordre, du despotisme vers la liberté…
C’est
ainsi qu’à la fin de l’histoire, le village de
Mortecampagne est rebaptisé Chantevie !
L’illustrateur n’est autre que le druide,
historien et romancier, feu Yann Brekilien, Président Fondateur de l’Association des Écrivains
Bretons, qui résidait à Quimper. À plus
de 80 ans, Yann Brekilien exprime ici un talent
méconnu, respectant fidèlement l’esprit du texte.
On lui doit également la traduction en
langue bretonne qui a été revue dans
le style moderne (breton unifié) par la chanteuse Gwennyn
Louarn, d’Argol.
La traduction en anglais des
États Unis est le fruit du travail de Jean
Hervé Cornec,
de Dinéault, et de son
épouse Carrie. Ils vivent à Denver, au Colorado.
Ce travail a été complété par Gwennaëlle Salaün,
de Dinéault et de son mari, Randy qui,
eux vivent
au Canada.
La traduction en allemand a été
effectuée par Brigitte Löcher,
de Ludwigshafen
en Allemagne, qui s’est également
chargée des retouches des dessins par ordinateur.
Si le concept et la création du texte de « La
légende de Mortecampagne »
sont le travail
de Silviane Le Menn, il n’en reste
pas moins que sans le travail bénévole de ses
amis ce CONTE MULTILINGUE n’aurait pu voir le
jour. |